À malintrat, la voyance m’a ouvert les yeux

Je m'appelle Mélissa, j'ai 22 ans, je me vois coiffeuse en salon à rueil durant dare-dare trois ans. Entre les clientes, les horaires décalés et la trappe des journées debout, j'ai rarement de l'avenir pour moi. Pourtant, il y a neuf ou 10 mois, j'ai traversé un moment effectivement bizarre. Je venais de me différencier de mon ami à la suite deux ans de les liens, je me posais des problèmes sur mon futur job, et je me sentais un doigt perdue. Une copain m’a parlé de la voyance à chappes. Au départ, j’ai rigolé. Pour une personne, c’était un truc de vieux films, les boules de cristal et tout le parabole. Mais plus elle m’en parlait, plus ça m’intriguait. Elle m’a suggéré qu’elle avait consulté un mage sérieuse dans le espace, qui l’avait aidée à fixer importante. carrement, je n’avais rien à consumer. Un samedi après-midi, je me perçois tombée sur un devin qui consultait en cabinet, pas loin du centre-ville. Elle avait des avis positifs en ligne, à ce moment-là j’ai pris rendez-vous, sans vivement savoir à quoi m’attendre.

Le rassemblement était un mercredi matin. J’avais posé ma matinée exprès. J’étais stressée mais curieuse. Dès que je suis arrivée, j’ai duré surprise par la facilité du lieu. Pas de déco bizarre, pas d’encens dans tous les pays. Juste une ainargentage simple, avec une énergie apaisante. La cartomancien m’a accueillie avec le sourire, elle m’a formulé qu’elle allait se brancher à mes influences et adopter de quelques cartes si besoin. Je ne savais relativement à quoi m’attendre. Et là, elle a commencé à structurer. Elle a tout de suite capté mes méfiances, ma conscience d’être bloquée, mon l'intention de changement. Elle m’a parlé de mon poste, de mes relations, de mes limitations intérieurs. C’était bluffant. Ce n’était pas une prédiction floue, c’était une vraie voyance de ma état. Elle m’a donné des conseils, mais notamment elle m’a aidée à recréer référence en une personne. Elle m’a dit que je savais déjà ce voyance olivier qu’il fallait déclencher, mais que j’avais envie d’un coup de pouce pour l’assumer. Ce instant fut à savoir une documentation. Je suis sortie du cabinet chamboulée mais reboostée, comme par exemple si on m’avait remis les pensées en place.